Les récentes pluies diluviennes
qui se sont abattues sur notre pays ont mis en lumière la fragilité de nos infrastructures. Des ponts ont cédé, coupant des routes essentielles et paralysant le trafic routier dans plusieurs régions.
Cet épisode révèle non seulement un manque de résilience de nos ouvrages face aux intempéries, mais surtout la nécessité urgente d’investir dans des infrastructures plus solides et durables.



Il est temps que nous repensions nos priorités en matière de construction et d’entretien de ces infrastructures, car elles sont vitales pour le développement économique et social du Burkina Faso. Une action rapide et coordonnée s’impose pour renforcer la résistance de nos ponts et routes afin de prévenir de telles catastrophes à l’avenir.